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Les imprévus #2

Lorsqu’on a décidé, Thomas et moi, de créer une section « les imprévus » (as-tu déjà lu le premier article ?) sur notre blog, nous ne nous doutions pas à quel point cette dernière nous serait utile. Voici un aperçu de la suite de cette section : retard, crash, et malchance… Si avec ça, tu ne lis pas l’article jusqu’à la fin, on ne comprend pas 🤣

Retard

Nous sommes partis de France le 2 septembre dernier, et pensions arriver à Taipei le 18 heures plus tard. Mais… notre aventure ne s’est pas déroulée de la sorte… Pourquoi ? Je te résume ça en un mot : grève. Pour le coup (et parce qu’on suit quand même l’actualité à distance hein), ce n’était pas une grève uniquement française, mais internationale.

Un début d’aventure mouvementé

Au petit matin de ce lundi de septembre, nous arrivons à l’aéroport de Bâle, tout heureux et innocents, pour prendre notre avion direction Paris, avant de monter à bord d’un direct pour Taipei. Mais – car oui, tu le sais, y’a un « mais » – nous nous sommes rapidement rendus compte que ce ne serait pas aussi simple. La file d’attente pour l’enregistrement est très importante. Si au début, nous sommes un peu stressés car nous pensons louper notre vol, nous sommes très vite « rassurés ». Impossible de le louper, puisqu’il est tout simplement annulé. Au moins, ça c’est fait 😅

Comme notre vol pour Taipei est lui maintenu, nous sommes placés sur un autre vol. Nous devions initialement arriver à Paris et avoir encore 45 minutes pour avoir notre correspondance. Sauf qu’une fois assis dans l’avion, l’un des pilotes, nous indique que nous allons avoir du retard. Nous sommes en effet arrivés avec 4 heures de retard par rapport à notre vol initial. Soit 20 minutes après que notre vol pour Taipei ce soit envolé…

Ce moment où tu sens qu’on te l’a mise bien profond.

Nous sommes retournés voir les hôtesses d’Air France qui nous alors transféré mis sur un nouveau vol direction… Amsterdam ! Alors non, notre destination n’a pas changé sur un coup de tête de dernière minute. Il n’y avait tout simplement plus de vol direct au départ de Paris pour Taipei. Ce nouveau vol nous a permis de découvrir l’aéroport de Roissy ET celui d’Amsterdam. La classe quand même 😂

Tout est bien qui finit bien

Au final, nous arrivons à Taipei avec plus de 8 heures de retard sur notre horaire initiale et cela nous fait une anecdote à raconter sur notre début d’aventure. Et puis, surtout nous avons eu de la chance. De la chance d’avoir pu gérer cela facilement et de n’avoir « que » 8 heures de retard. Notre pote, Antoine, nous a lui rejoint à Taipei avec plus de 16 heures de retard !

Le fait d’avoir du retard, nous a également permis de demander une indemnisation à Air France. D’autres passagers, lorsque nous étions à Bâle, en parlaient. Nous avons suivi leurs conseils et avons lancé la procédure, sans trop y croire. Résultat : indemnisation (600€) reçue il y a quelques jours pour chacun des billets. Si tu es aussi dans ce cas-là, n’hésite pas à en faire toi aussi la demande. Tu trouveras toutes les informations nécessaires et les conditions à remplir sur le site des services-publics !

Et, sans plus attendre, enchaînons sur un nouvel imprévu.

Crash

Certains d’entre vous le savent déjà, mais cet article aurait pu ne jamais voir le jour. Ou alors dans trèèèèès longtemps. Pourquoi ? Et bien, moi, Adeline, je dois avouer… avoir fait crasher le site.

Explosion de la même ampleur, le coté « badass » en moins.

Pourquoi ? Comment ?

Pas de panique, je t’explique tout ça. C’était involontaire of course, si jamais tu avais un doute là-dessus.😅 J’ai donc mis le site internet à jour, et cette dernière a tout simplement planté. Sauf que je ne m’en suis pas rendue compte tout de suite. C’est l’un de mes proches qui me l’a indiqué via les réseaux sociaux. Ne comprenant pas de quoi il était question au départ, je me suis connectée naïvement sur le site pour découvrir qu’on avait une « erreur 500 ». En voulant accéder à WordPress, Thomas et moi avons eu le plaisir de constater que nous ne pouvions plus accéder à rien.

Sans trop paniquer d’abord, nous avons essayé de réparer mon erreur en mettant les mains dans le back-office. On a ainsi suivi différents tutoriaux pour se rendre compte que malheureusement ne site ne revenait pas.

Nos proches à la rescousse

Plutôt démunis devant ce problème nous avons contacté un peu en catastrophe certains de nos proches qui eux s’y connaissent. Nous avons ainsi essayé différentes choses sans que cela ne fonctionne. Puis nous avons finalement donné les accès à Pierre qui nous a indiqué qu’en bidouillant nous avions supprimé l’un des fichiers à ne surtout pas supprimer… C’était donc logique à ce moment là que plus rien ne fonctionne. 😅

Heureusement que dans la panique, j’avais vite sauvegardé tout ce que je pouvais. Yeap… nous n’avions pas de réelle sauvegarde. Nous qui travaillons dans le digital et sommes plutôt organisés, nous avons tout simplement zappé cette étape. Haha… ha…

En bref, il y a eu (beaucoup) de larmes, du stress, du bidouillage puis un grand soulagement. Moralité de l’histoire : toujours réfléchir avant de lancer une mise à jour.😏 Cette dernière peut crasher, il faut donc avoir une sauvegarde prête à l’emploi.

Et là tu te dis : Merci Captain Obvious ! 😂

Malgré cette mésaventure, nous sommes plus motivés que jamais. D’autres articles, il y aura.

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